Les méfaits de la Pollution Electromagnétique : 

Dès 1960, des scientifiques soviétiques tiraient la sonnette d'alarme et signalaient les dangers d'une exposition prolongée aux rayonnements électromagnétiques des lignes haute tension.

Obligé d'effectuer des recherches, EDF a reconnu timidement qu'au minimum il y avait une baisse du système immunitaire !

D'autres recherches reconnurent qu'il y avait des risques de leucémies et de cancers du cerveau.

En mars 99, lors d'un colloque à l'assemblée nationale, animée par le professeur Mouthon, il fut officiellement reconnu que les courants électriques haute tension diminuaient le taux de fer dans le sang, augmentaient les troubles neurovégétatifs, occasionnaient des troubles cardiaques, perturbaient le système immunitaire, entraînaient des altérations génétiques et provoquaient irritabilité, asthénie, dépression nerveuse.

Plusieurs études russes récentes ont démontré le lien entre les rayonnements électromagnétiques et l'apparition de thrombose. Qu'il s'agisse de lignes hautes tension ou de transformateurs, leurs conséquences néfastes sur la santé des habitants qui logent à proximité a été établie de manière incontestable.

http://www.aci-multimedia.net/bio/pollution_electromagnetique.htm

Lignes Haute tension et cancers   :

Il existe d'autres pollutions caractéristiques de notre époque.

On en parle moins mais elles ont toutefois des incidences graves sur la santé des individus.

Ces pollutions sournoises qui n'osent pas dire leur nom, font partie de notre vie quotidienne : les progrès technologiques en créent tous les jours de nouvelles.

Aujourd'hui de nombreuses études confirment les effets nocifs des champs Électromagnétiques (CEM) sur les animaux et les humains. Ainsi, aux USA, W. ROSS ADEY, président du Conseil National américain de Protection contre les radiations non ionisantes (NCRP) a déclaré "les études indiquent une conjonction entre les actions des promoteurs chimiques de cancers et les CEM au niveau de la membrane cellulaire comme une étape clef dans la formation des tumeurs" (symposium de Londres 1994).

Déjà en 79, une étude épidémiologique réalisée par Wertheimer avait retrouvé les risques significatifs de leucémie et de cancers du cerveau chez les personnes vivant prés des lignes à H.T. Toutes les études épidémiologiques suivantes concernant ce problème ont confirmé ces assertions, comme celle de M. FEYCHTING en 95 qui retrouva 2 fois plus de leucémies dés que les enfants sont soumis à un champ de 2 milligauss (mg) et à 5 fois plus de leucémies avec un champ de 5 mg.

Les études suivantes de l'INSERM ont confirmé ces risques de leucémie avec un seuil d'apparition du risque dans une exposition à 2-3 mg. Dans la foulée, l'OMS s'appuyant sur le rapport du CIRCE de Lyon conclut que "les champs de basse fréquence devaient être considérés comme peut-être cancérigènes pour l'homme". Dans sa résolution du 5 mai 94, le Parlement Européen a réagi et demandé l'instauration de couloirs de lignes H.T. à l'intérieur desquels toute activité ou habitation seraient exclus. Luxembourg et Italie ont interdit de construire sous les lignes. La France ne réagit pas comme d'habitude, même au nom du principe de précaution, un parapluie bien commode.

http://www.aci-multimedia.net/bio/haute_tension.htm

Le danger potentiel des champs électromagnétiques et leur effet sur l’environnement :

  Rapport de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe

Si les champs électriques et électromagnétiques de certaines bandes de fréquence ont des effets tout à fait bénéfiques, qui sont utilisés en médecine, d’autres fréquences non ionisantes, que ce soient les extrêmement basses fréquences, les lignes électriques ou certaines ondes à haute fréquence utilisées dans le domaine des radars, de la télécommunication et de la téléphonie mobile, semblent avoir des effets biologiques non thermiques potentiels plus ou moins nocifs sur les plantes, les insectes et les animaux, ainsi que sur l’organisme humain en cas d’exposition à des niveaux inférieurs aux seuils officiels. 

Il faut appliquer le principe de précaution et revoir les valeurs seuils actuelles car le fait d’attendre d’avoir des preuves scientifiques et cliniques solides avant d’intervenir peut entraîner des coûts sanitaires et économiques très élevés, comme ce fut le cas dans la passé avec l’amiante, l’essence au plomb et le tabac.

 http://www.a-brest.net/article7750.html